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  • Des milliers de gens sont touchés, dans le monde, avec plus de 60000 cas aux U.S.

    Le MORGELLONS est en croissance exponentielle, nous sommes tous concernés.

    L'enquête officielle du CDC reclamée par les malade n'a pas pris en compte tout les détails de la maladie.

    L'analyse des fibres nanotechnologiques a été ignorée.

    L'accablante conclusion de la médecine officielle: le morgellons n'existent que dans la tête des patients...


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  • La découverte faite par le photographe japonais Yoji Ookata est stupéfiante. Passionné par la vie aquatique, cet homme a passé les cinquante dernières années à explorer les mystères que renferment les eaux profondes. Récemment, il a pu observer un phénomène qu'il n'avait jamais vu auparavant: des cercles de sable aux formes onduleuses dessinés de façon très précise. 

    Selon la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), agence américaine responsable de l'étude de l'océan et de l'atmosphère, 95% du "territoire" marin n'ont pas été explorés par les humains, laissant ainsi une part de mystère importante. Une réalité que le photographe Yoji Ookata connaît mieux que personne. Alors que ce dernier a passé sa vie à observer la vie sous-marine, ce n'est que récemment qu'il a mis le doigt sur une découverte invraisemblable.

    Dans le sud du Japon, dans la mer de la Chine orientale qui borde l'île de Amani Oshima, à 80 mètres sous l'eau, Yoji Ookata a observé des cercles aux formes géométriques faits de sable. Afin de percer le mystère de ce qu'il a lui même baptisé, "les cercles mystérieux", il y retourne avec des collègues et une équipe de télévision. 

    L'équipe a ainsi découvert qui se cachait derrière ces cercles aux formes onduleuses. Il s'agit d'un poisson, particulièrement petit, qui nage sans relâche matin et soir afin de créer ces vastes sculptures et ce, à l'aide d'une seule de ses nageoires. Mais le poisson n'agit pas ainsi sans raison. 

    Après de longues observations, le photographe a compris que ces cercles, uniquement bâtis par les mâles, servaient à attirer les femelles en leur centre. Selon ses analyses, les poissons de sexe féminins sont attirés par les "collines" que forment le sable, qu'elles montent et traversent. C'est une fois au milieu de la structure, que les poissons copulent pouvant ainsi garder leurs bébés à l'abri des courants. Les scientifiques ont également appris que plus les bosses de sable étaient élevées, plus les poissons avaient des chances de pouvoir donner naissance. 

    Après cette découverte, on peut se demander ce que les eaux profondes gardent encore comme mystères. Plus que 95% du territoires océanique à parcourir.


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  • deforestation

    La dégradation de notre environnement en serait la cause. Ce n’est pas faute de mettre en évidence les excès en tout genres. Plus question de conspiration, mais la triste évidence d’une fin annoncée, dont la majorité se fiche éperdument, fric et bénéfice immédiat sont les Dieux pervers de ce système qui n’est pas prêt de s’épuiser..Et ensuite?.

    Alors que la thèse de fin de monde prévue pour 2012 par les Mayas fait sourire les sceptiques, des scientifiques canadiens ont publié une étude annonçant la destruction de notre planète d’ici l’année 2100.

    Allons nous assister pochainement à la fin du monde ? C’est ce que dix-huit scientifiques canadiens ont laissé entendre dans une récente étude publiée dans la très sérieuse revue américaine Nature. La cause de cette prophétie ? Les dégradations que l’homme fait subir à l’environnement.

    Selon les professeurs de la Simon Fraser University (SFU) de Vancouver, les modifications du climat couplées à la dégradation générale de la nature mèneraient à un point de non-retour avant 2100, où tous les dommages infligés à la planète seraient irréversibles.

    Les changements artificiels et extrêmes que la Terre subit au jour le jour sont beaucoup trop rapides pour que la planète s’habitue aux actions de l’homme. Affaiblie elle ne pourrait pas supporter ces modifications, ce qui entrainerait sa destruction.

    « Le prochain changement pourrait être extrêmement destructeur pour la planète. Une fois que le seuil critique sera dépassé, il n’y aura plus de possibilité de revenir en arrière, » selon Arne Moers une scientifique ayant participé à l’étude. L’utilisation de 50% des ressources terrestres engendrerait des dégâts irréversibles. 43% de ces ressources sont actuellement utilisées.

    Pour endiguer cette destruction annoncée, le rapport de la FSU préconise différentes solutions. Il exhorte aux Etats de réduire la natalité, concentrer les populations dans les zones de forte densité et de développer de nouvelles technologies pour produire des ressources alimentaires et ne pas aggraver l’état de la planète.

    Les détracteurs ne se sont pas fait attendre. Certains dénoncent la banalité de l’étude, d’autres constats semblables ayant déjà été avancés par le passé. L’affaiblissement de la planète est un fait à ne pas prendre à la légère mais connu depuis longtemps.

    Autre article :
    La fin du monde serait imminente

    La dégradation générale de la nature et des écosystèmes, les fluctuations climatiques de plus en plus extrêmes et le changement radical du bilan énergétique global mènent l’humanité à sa perte, selon certains scientifiques.

    Des scientifiques prédisent la fin de notre planète avant l’an 2100. Cette fatalité serait due à l’emballement des changements radicaux des écosystèmes. Un processus qui serait irréversible.

    Un article de la revue «Nature» intitulé «Approaching a state-shift in Earth’s biosphere» fait froid dans le dos. Il prédit en effet une fin imminente de l’humanité!

    Cette étude de la Simon Fraser University de Vancouver montrerait qu’un effondrement total de la planète se produirait d’ici à la fin du XXIe siècle. L’étude, menée par 18 scientifiques, soulève plusieurs points inquiétants, rapporte le site MaxiSciences.com: la dégradation générale de la nature et des écosystèmes, les fluctuations climatiques de plus en plus extrêmes et le changement radical du bilan énergétique global. Ces modifications finiraient par arriver à un point de non-retour et deviendraient irréversibles.

    (…)

    >>>La suite ici<<<


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